Le pire tirage : l’Allemagne (12e), le Sénégal (20e) et l’Equateur (46e)
Entre l’Allemagne (12e) et les Pays-Bas (10es), Kylian Mbappé et ses partenaires préféreraient sans doute n’affronter aucun des deux au premier tour. Mais à choisir, c’est bien le quadruple champion du monde qui représenterait l’adversaire le plus dangereux. Leur expérience des grandes compétitions, malgré leur élimination précoce il y a quatre ans, placera encore les Allemands, solides en qualifications, parmi les favoris cette année. Champion d’Afrique pour la première fois, début février, et qualifié in extremis aux dépens de l’Égypte, le Sénégal de Sadio Mané serait un sérieux obstacle dans le parcours des Bleus.
Cette confrontation ne serait pas sans rappeler celle du premier tour en 2002, qui avait tourné à l’avantage des Lions de la Téranga face aux tenants du titre français (1-0), déjà à l’époque. L’Équateur, sorti quatrième de la zone Amsud, davantage que le Canada (38e), de retour après 36 ans d’absence, offrirait également une opposition relevée. Comme la combinaison de l’Uruguay (13e) et du pays de Galles (18e), si celui-ci venait à valider son billet.
Le tirage au sort de la Coupe du monde, qui a lieu demain soir à Doha, pourrait réserver des fortunes diverses à l’équipe de France, qui défendra son titre au Qatar.
Les Bleus ne sont pas certains d’être totalement fixés sur l’identité de leurs futurs adversaires, à l’issue du tirage au sort de la Coupe du monde qui se déroulera à Doha. Trois pays manquent encore au contingent des 29 nations déjà qualifiées pour la compétition. Les deux vainqueurs des barrages intercontinentaux et le gagnant du dernier barrage européen impliquant notamment l’Ukraine seront déterminés au mois de juin.
En tant que tête de série, l’équipe de France, championne du monde en titre, devrait néanmoins être épargnée. Même si, compte tenu de la composition des chapeaux et de la possible présence de deux pays européens dans chaque groupe, une mauvaise surprise n’est pas à exclure.
Le meilleur tirage : les États-Unis (15e au classement FIFA), la Tunisie (35e) et l’Arabie saoudite (49e)
Au vu des sélections prestigieuses présentes dans le chapeau 2, le scénario le plus favorable pour Didier Deschamps et ses joueurs serait de les voir affronter les États-Unis. Même si la Croatie est moins bien classée (16e), les finalistes du dernier Mondial sont sortis premiers de leur groupe de qualification. À l’inverse, absents de l’édition 2018, les Américains ont terminé en troisième position des éliminatoires de la zone Concacaf, derrière le Canada et le Mexique. S’ils possèdent de belles individualités (Pulisic, McKennie), leur groupe reste aussi très jeune et peu expérimenté.
Dans le chapeau 3, la Tunisie, qui s’est extirpée de justesse des barrages africains, a peu impressionné. Elle semble moins armée que l’Iran, qui a dominé sa poule dans la zone Asie, ou la Corée du Sud, une habituée des phases finales. Enfin dans le chapeau 4, les Émirats arabes unis ayant encore deux barrages à disputer, et la Nouvelle-Zélande un exploit à réaliser face au Pérou, c’est l’Arabie saoudite qui pourrait faire office de meilleur candidat pour les Bleus.
Le pire tirage : l’Allemagne (12e), le Sénégal (20e) et l’Equateur (46e)
Entre l’Allemagne (12e) et les Pays-Bas (10es), Kylian Mbappé et ses partenaires préféreraient sans doute n’affronter aucun des deux au premier tour. Mais à choisir, c’est bien le quadruple champion du monde qui représenterait l’adversaire le plus dangereux. Leur expérience des grandes compétitions, malgré leur élimination précoce il y a quatre ans, placera encore les Allemands, solides en qualifications, parmi les favoris cette année. Champion d’Afrique pour la première fois, début février, et qualifié in extremis aux dépens de l’Égypte, le Sénégal de Sadio Mané serait un sérieux obstacle dans le parcours des Bleus.
Cette confrontation ne serait pas sans rappeler celle du premier tour en 2002, qui avait tourné à l’avantage des Lions de la Téranga face aux tenants du titre français (1-0), déjà à l’époque. L’Équateur, sorti quatrième de la zone Amsud, davantage que le Canada (38e), de retour après 36 ans d’absence, offrirait également une opposition relevée. Comme la combinaison de l’Uruguay (13e) et du pays de Galles (18e), si celui-ci venait à valider son billet.
lequipe