C’est à croire que la violence est dans les gènes des étudiants. Alors que les enseignants menacent d’écourter l’année pour combattre la violence qu’exercent des étudiants sur eux, les campus n’est guère épargné des troubles.
A en croire L’As, hier à l’université, un nervi y a passé un sale quart d’heure. C’était vers 11 heures dans la matinée. Alors que les étudiants s’étaient éparpillés dans les restaurants, histoire de manger sans bourse délier, des nervis sont entrés en action pour les en empêcher.
Il s’en est suivi des échanges de jets de pierres. Les gros bras ont pris la fuite, à l’exception d’un seul qui « faisait le dur à cuire ». Pris à partie par les étudiants qui l’ont malmené, il n’a dû son salut qu’à l’intervention de bonnes volontés.
SENEGO