Il y a 11 ans, précisément le jeudi 23 juin 2011, des Sénégalais se sont opposés au vote d’une réforme constitutionnelle, un « ticket présidentiel », qui était considéré comme une tentative de passer la main au fils du président de l’époque, Abdoulaye Wade. Cette réforme de la Constitution devait abaisser à 25 % le seuil minimum des voix nécessaires au premier tour pour élire un « ticket présidentiel » comprenant un président et un vice-président et ainsi assurer le maintien au pouvoir de Wade père et fils.
Mais à l’appel d’activistes, de mouvements de la société civile, de journalistes, cette réforme suscite un fort rejet populaire.
Il y a 11 ans, précisément le jeudi 23 juin 2011, des Sénégalais se sont opposés au vote d’une réforme constitutionnelle, un « ticket présidentiel », qui était considéré comme une tentative de passer la main au fils du président de l’époque, Abdoulaye Wade. Cette réforme de la Constitution devait abaisser à 25 % le seuil minimum des voix nécessaires au premier tour pour élire un « ticket présidentiel » comprenant un président et un vice-président et ainsi assurer le maintien au pouvoir de Wade père et fils.
Mais à l’appel d’activistes, de mouvements de la société civile, de journalistes, cette réforme suscite un fort rejet populaire.
source seneweb