Les mesures de politique et d’administration fiscales de la loi de Finances rectificative intègrent la hausse de la taxe sur les bouillons alimentaires. Elle passe ainsi de 15 à 25%. Selon le ministre des Finances, le rendement de ces produits s’élèvent à 25 milliards en plus d’être jugés nocifs pour la santé.
Cette décision saluée par certains députés tels Aïda Mbodj « les bouillons sont une catastrophe pour la santé, les médecins disent qu’ils sont dévastateurs donc nous saluons le courage du gouvernement ». Une position qui n’est pas partagé par l’honorable Théodore Montreuil. Chimiste de formation, ce dernier soutien que « le danger se trouve dans l’excès » et qu’il serait risqué de mettre une taxe sur ces produits.
Le ministre Abdoulaye Daouda Diallo de son côté a précisé que ce taxe est « pris en charge par le consommateur ». De ce fait, cela ne menace guère l’existence de ces industries encore moins les emplois qu’elles génèrent.