Cheikh Yérim Seck a finalement reporté sa conférence de presse prévue hier lundi, 29 juin. Dès l’annonce de la tenue de la conférence de presse, un mouvement spontané de femmes activistes s’est organisé pour saboter l’événement.
Ces femmes, qui s’opposent à la médiatisation de Cheikh Yérim Seck (lui-même condamné pour des faits de viol sur une jeune fille il y a quelques années) depuis sa libération de prison, ont mis en place un plan, qui selon nos informations, consistait à profiter de la tribune que comptait s’offrir le journaliste en brandissant des pancartes hostiles et en réclamant justice pour Louise, la jeune fille qui accuse le fils de Yérim de viol. Mis au parfum, le journaliste a dû surseoir à sa décision.
Une jeune fille de 15 ans, du nom de Louise, accuse le fils du célèbre journaliste de l’avoir violée. Le jeune homme, qui serait âgé de 19 ans, partage le même établissement scolaire que la victime présumée, à Saly, dans le département de Mbour. Selon l’accusation, le jeune Souleymane Seck aurait menacé la fille avant d’abuser d’elle et de diffuser une vidéo des faits sur les réseaux sociaux.
EMEDIA