Tout le monde en parle ! Et c’est le grand étonnement actuellement dans l’école rufisquoise et le corps professoral imbu des valeurs religieuses et sociales qui doivent toujours prévaloir dans notre société sénégalaise en font un cas particulier, car profondément sidéré d’un tel fait.
Nous sommes à Rufisque, c’est la période du bac blanc proposé aux élèves en classe de terminal, dans le but pédagogique de les préparer aux épreuves du baccalauréat fixées, pour le compte de cette année, à la fin du mois de juillet prochain.
Mais un fait étonnant et inquiétant a retenu l’attention des professeurs qui étaient préposés à la surveillance des élèves dans les salles d’examen, mais surtout aux parents qui ont quelques notions en anglais. En réalité, l’épreuve d’anglais, un texte (une lettre) suivi de questions, proposé aux élèves, a largement évoqué l’homosexualité, les contraintes d’être homosexuel et la tolérance vis-à-vis de telles aspirations et pratiques éhontées…
Le plus étonnant dans tout ça, ce sont les questions posées aux élèves qui ressemblent plus à un sondage qu’à autre chose : “What are you feeling after reeding this letter ? Are you for or against the sociale exclusion of homosexuals of Senegal ? Why or why not ? autrement : “Que ressentez-vous après avoir lu cette lettre ? Etes-vous pour ou contre l’exclusion sociale des homosexuels au Sénégal ? Justifiez !
Ce sont là des questions adressées à nos enfants qui inquiètent du plus haut niveau. En réalité, ceci parait simplement un sondage adressé aux apprenants peut-être, dans le seul but d’apprécier indirectement et de manière plus subtile une enquête pour comprendre l’appréhension et l’appréciation que nos enfants ont de l’homosexualité dans notre société sénégalaise à 99 % de croyants…
Le mal est profond pour deux raisons : d’abord l’offensive pour la banalisation de l’homosexualité, ensuite faire passe cette abominable pratique dans notre société. Rien ne semble arrêter ces gens pour la réussite de leur projet…
source senego